~ Joyeuses fêtes avec...

 

Un groupe qui a la "pêche" !
je l'avais présenté sur EK il y a quelque temp, mais je récidive ici...


Groupe slavo-parisien issu d'Europe centrale, LOULOU DJINE produit une musique tzigane originale mêlant sonorités orientales et influences des Balkans,

Entre répertoire traditionnel tzigane, musiques actuelles, rythmes orientaux, la musique de Loulou Djine est le fruit d'un métissage qui réactualise les lamentos déchirants et autres frénésies enivrantes nées entre plaines hongroises, montagnes yougoslaves et steppes russes.

Les six musiciens mêlent sonorités orientales et influences des Balkans : percussions orientales, guitare manouche, violon tzigane classico-traditionnel, contrebasse made in Balkans, accordéon slave, clarinette et le quatuor à cordes...




Dragan Urlić, fondateur et leader de ce groupe multiculturel, chanteur, violoniste, compositeur et auteur de partitions, est né à Sarajevo en 1968 dans la famille de musiciens où il a commencé avec une formation classique en violon à l'âge de huit ans. 

Employé en permanence comme violoniste de l'Opéra et de la Philharmonie de Sarajevo entre 1990 et 1994, il était membre actif de plusieurs groupes jouant de la musique traditionnelle. En 1989, il crée son propre groupe. Pendant la guerre de Bosnie-Herzégovine en 1994, il s'installe à Paris où il réactive son ancien groupe le Loulou Djine, très peu de temps après.

Toujours passionné par la musique traditionnelle, surtout celle qui vient de la région des Balkans, ce virtuose des cordes a réussi à faire passer sa passion et à rendre ce son familier au public contemporain. Au cours des seize dernières années de sa vie en France, il a travaillé avec de nombreux orchestres classiques et des méga-interprètes populaires de pop-rock et de jazz, comme Eddy Mitchell, Florin Niculescu, Guy Marchand, Luciano Pavarotti, entre autres... 



~ L'imbécile




Robert et Raymond profitent de leurs vacances pour se rendre à Chamonix et tenter une ascension difficile.
Malheureusement, lorsqu’ils arrivent, la tempête est telle qu’ils sont contraints de se réfugier dans le premier chalet venu.
Coup de chance, la maison est splendide. Mais la jolie femme qui les accueille leur précise aussitôt :
« Je suis veuve, vous comprenez que je ne peux pas me permettre de vous laisser passer la nuit chez moi. Les voisins jaseraient…»
Robert répond :
« Pas de problème, nous passerons la nuit dans la grange si vous nous y autorisez. »
Neuf mois plus tard, Robert passe un coup de fil à son ami Raymond :
– Raymond, tu te souviens de cette nuit à la montagne où nous avions du dormir dans la grange ?
– Ouais… Je me souviens.
– Tu te rappelles de la jolie maîtresse de maison qui nous avait accueillis…
– Ouais…
– Par le plus grand des hasards, tu ne te serais pas levé pendant que je dormais pour aller rejoindre cette femme dans son lit ?
– J’ai bien peur que si… répond Raymond inquiet…
– Et tu ne lui aurais pas dit que tu t’appelais Robert et non pas Raymond… ?
– J’ai bien peur que si… répond-t-il, rouge de confusion.
– Eh bien je te remercie car elle vient de mourir et de me léguer toute sa fortune……